bicylindre parallèle 4 T, refroidi par eau, 2 ACT, 4 soupapes par cylindre ; 499 cm3 (73 x 59,6 mm) ; rapport volumétrique 10,5 à 1 ; 57,1 ch à 9 500 tr/mn ; 4,6 mkg à 8 000 tr/mn ; boîte 6 v. ; transmission secondaire par chaîne.

cadre en tubes d'acier ; susp. AV fourche téléhydraulique, déb. 115 mm ; susp. AR 2 amortisseurs, déb. 117 mm ; frein AV 1 disque Ø 296 mm, étrier 2 pistons ; frein AR 1 disque Ø 240 mm, étrier 1 piston ; roues AV/AR 17" ; réservoir 18 l ; poids à sec 173 / 179,3 kg.

Voici un peu en vrac, quelques commentaires par Moto-mag et Moto2 (Pardon aux auteurs!).

Minimaliste mais clair, le tableau de bord de la CB500 manque d'un témoin de reserve.
Le simple disque et le tambour arrière sont un peu justes en duo. Mais depuis 1997, tous les modèles ont un disque arrière.
Par rapport à la concurence (GPZ, GSE, Bandit, Diversion), la CB500 offre une fiabilité absolue et l'économie qu'elle entraine. Elle est construite simplement mais toujours avec la fiabilité chère à la marque.
Plein de vie, le twin vertical génère des vibrations présentes mais pas désagréables.
Précise et rigide, la CB500 est alerte sur les routes sinueuses. On apprécie l'équilibre de la moto.
Etroite mais bien assez confortable, la selle séduit le passager.
La protection offerte par la petite bulle de la CB500S est réduite, mais pas symbolique. Cet accessoire transforme réellement le roadster.